Sur le terrain, il aime couper du bois, cisailler, charcuter. Il joue 3ème ligne, est international français et possède des bras de maçon.
A ce stade, Anthony Jelonch vient donc de passer son tour. Il reste évidement plusieurs potentiels clients qui correspondent à ce profil, dont le nouveau flanker de Bayonne Alexandre Fischer, quand les "enforcer" comme Sam Underhill ou Jean-Luc Du Preez ne manquent pas non plus. Mais le titre de plus gros "hitteur" du monde en 2024/2025 revient à… Paul Boudehent.
FINALE TOP 14. VIDÉO. Revivez le match XXL du bout de bois Anthony Jelonch face à l’UBB
Le 3ème ligne de La Rochelle a clairement passé un cap la saison dernière. Devenu titulaire indiscutable avec le XV de France, le natif du Maine-et-Loire a impressionné par sa capacité à dominer physiquement ses adversaires au niveau international.
En club, c’est encore plus fort, puisque d’après les données recensées par Opta Analyst sur son site très bien fourni, le flanker de 25 ans est le joueur qui réalise le plus de plaquages offensifs dans les 4 grands championnats mondiaux.
97% de réussite
La saison passée, il a ainsi infligé 36 plaquages dominants à ses adversaires, juste devant le Bayonnais Rodrigo Bruni et le Palois Sacha Zegueur. Ainsi, l’homme aux plus gros biceps du XV de France a dominé les collisions défensives dans 24,5% des cas et réussi plus de 97 % de ses tentatives de plaquages, ce qui outrepasse largement la concurrence parmi les joueurs ayant réalisé au moins 100 plaquages dans leur championnat en 2024/2025. Bestial !
''Il pourrait tuer un mec à mains nues'' : Paul Boudehent, le déménageur dont le XV de France avait besoin
Des données chiffrées qui montrent l’importance de Paul Boudehent sur un terrain avec La Rochelle, comme avec l’équipe de France. Dont il est devenu le titulaire en puissance en numéro 7 grâce à sa défense, bien sûr, mais aussi sa capacité à avancer en permanence ballon en main grâce à sa force herculéenne dans le haut du corps notamment.
Bref, un client qui ne cesse de prendre du volume, dans tous les sens du terme. Et ça n’est pas pour déplaire à Fabien Galthié…